Vaya, vaya. Un obispo progre encubriendo etarras y pedófilos. Y el Papa que le castigó apartándole antes de que la prensa progre se preocupara por ambos temas.
No deja de ser curioso. Igual que en Estados Unidos. Obispos que niegan la doctrina católica entre otros asuntos, en materia sexual. Pederastas que en lugar de ser sancionados son premiados (por seguir la moral sexual progre en vez de la católica, supongo). El Papa Juan Pablo II interviene y restaura la disciplina y se acaban estos crímenes.
Y quince o veinte años después de que la Iglesia hubiese solucionado el problema por su raíz, los medios progres sacan el tema para atacar al Papa y la Iglesia. Menos mal que quedan medios como LD para presentar la verdad objetiva.
Profeseu: en español, por favor ...
ADJUNTO AQUÍ LAS DECLARACIONES EN FRANCÉS DEL "OBISPO ROJO" GAILLOT A "Le Parisien/Aujourd'hui" (5-4-2010) SOBRE SU SOSTENIDO ENCUBRIMIENTO DEL CURA PEDERASTA, PARA EVITAR LAS IMPRECISIONES DE LA TRADUCCIÓN DE AGENCIAS:
"Pédophilie : les vérités de Mgr Gaillot
Consacré prêtre en 1961, puis évêque d’Evreux (Eure) en 1982, Mgr Jacques Gaillot a été destitué par Rome en 1995, en raison de ses prises de position en faveur des exclus et contre les lois Pasqua sur l’immigration. Nommé évêque de Partenia, diocèse situé dans la région de Sétif (Algérie)… disparu au V e siècle, il symbolise aujourd’hui une certaine liberté de parole.
Alors que l’Eglise catholique est secouée par une succession de scandales pédophiles, ce prélat de 75 ans a accepté de nous raconter comment il a lui-même ouvert la porte de son diocèse, il y a vingt ans, à un prêtre pédophile condamné au Canada. Jugé en 2005 devant la cour d’assises de l’Eure pour des faits commis en France à partir de 1988, Denis Vadeboncoeur a écopé de douze années de réclusion criminelle.
En 1987, alors que vous êtiez évêque d’Evreux, vous avez accueilli dans votre diocèse un prêtre canadien qui avait purgé une peine de vingt mois de prison pour pédophilie. Pourquoi ?
MGR GAILLOT. A l’époque, l’Eglise fonctionnait ainsi. On rendait service. On vous demandait d’accueillir un prêtre indésirable et vous l’acceptiez. C’est ce que j’ai fait, il y a plus de vingt ans. C’était une erreur.
Vous connaissiez les raisons de sa condamnation ?
Très vaguement. Je savais surtout qu’il avait fait un an de thérapie et qu’il était chaudement recommandé par des laïcs ainsi que par son supérieur canadien. Dans la lettre où il me demandait de l’accueillir, ce dernier avait évoqué sa condamnation et avait écrit : « Si vous souhaitez en savoir plus, on vous dira. » Je n’ai pas donné suite.
Vous ne vous êtes pas posé de question ?
Je n’avais pas très envie que Denis Vadeboncoeur exerce dans mon diocèse mais, en même temps, je n’ai pas cherché à en savoir plus sur lui. Pendant six mois, il était parmi nous, sans attribution précise. Il rendait service, donnait des coups de main à droite ou à gauche, nouait des contacts. Les gens le trouvaient très sympa. Je me suis dit qu’on pouvait lui faire confiance. J’ai proposé au conseil épiscopal de le nommer curé. C’est ma deuxième erreur.
A ce moment-là, pourtant, vous n’ignorez plus rien de son passé...
Le supérieur canadien m’avait envoyé une deuxième lettre dans laquelle il détaillait ce que Vadeboncoeur avait commis là-bas. Le problème, c’est que cette lettre m’est parvenue tardivement. Entre-temps, il avait su se faire apprécier et était devenu très populaire.
Qu’avez-vous fait en recevant cette lettre ?
Je suis allé le voir. Nous en avons parlé. Il m’a dit qu’il s’était soigné, qu’il avait changé, qu’il s’en était sorti. Je l’ai cru. J’avais envie de lui donner sa chance. Je n’imaginais pas qu’il puisse être un pervers.
Avec du recul, que pensez-vous de cette affaire ?
Je n’aurais jamais dû l’accueillir. On n’aurait jamais dû me le proposer. Je n’aurais jamais dû le nommer curé. Mais cette prise de conscience a été tardive. Quand, en 1995, j’ai été limogé par Rome en raison de mes prises de position contre les lois Pasqua, j’ignorais qu’il avait recommencé. Avant de partir, j’ai simplement signalé à mon successeur que ce prêtre-là avait un dossier lourd et qu’il fallait veiller sur lui. Les premières plaintes des victimes ont été déposées cinq ans plus tard. Mon successeur l’a alors convaincu de se rendre à la justice et l’a lui-même accompagné au commissariat.
Et quand vous avez appris ce qu’il avait fait dans votre diocèse...
Je suis tombé de haut. Cela a été une grande déception de penser que ce prêtre avait eu une double vie. Il allait à plein de réunions avec des prêtres, il participait à des tas d’activités. Personne ne m’avait rien dit. Personne ne s’en était plaint.
Vous avez été entendu comme témoin à son procès. Un moment difficile ?
Oui. A la barre, j’ai fait profil bas.
Cela pourrait-il se reproduire aujourd’hui ?
Je ne crois pas. Dans l’Eglise, les choses ont changé. Maintenant, on s’en remet à la justice. On sort, peu à peu, de cette culture du secret. On est dans une démarche de vérité et on ne perd plus de temps. Si un prêtre est mis en cause, on fait prévaloir le principe de précaution : on le suspend, sans le condamner, en attendant le jugement. C’est un chemin difficile, auquel on n’était pas habitué. Mais il est nécessaire.
Cette crise peut-elle être salutaire pour l’Eglise ?
Oui, à condition qu’elle s’en saisisse pour interroger le fonctionnement même de l’institution. Célibat des prêtres, homosexualité, préservatif, avortement, place de la femme : sur toutes ces questions, l’Eglise est en retard, en porte-à-faux vis-à-vis de la société. Malheureusement, je n’ai pas l’impression que la démarche du Vatican aille dans ce sens. Et, du coup, cette crise ne fait que jeter le discrédit sur tous les prêtres".
Pues si, estoy de acuerdo con el obispo del anti Cristo. A ver si todos los malnacidos de ETA dan su vida ya, y dejan de joder a los que luchamos por este pais.
Caminant - Recuerda que Jesucristo escogió a doce discipulos y uno le salió rana, así que de la raza humana se puede esperar cualquier cosa.
"Cayó en las garras del Diablo, que ya no lo soltará jamás" ...
Así, así... aumentando los fieles de la iglesia católica. En fin, que respaldando a los criminales de eta y protegiendo a pederastas se cubre de gloria el Vaticano.
Me agradaria que este obispo fuera sodomizado por algún preso etarra, como buen cretino deberia ofrecer su cuerpo generosamente como a los asesinos que ampara.
Yo no me creo que Gaillot se limitara en 1987 a encubrir y proteger en su diócesis al cura multi-pedófilo condenado en Canadá, sólo porque "en ese tiempo, la iglesia funcionaba así", como él mismo ha lloriqueado ante la justicia y la prensa francesa. Entonces habría bastado con esconder al cura criminal en alguna parroquia o capellanía y ya está. ¡PERO NOMBRÓ ADEMÁS AL PEDERASTA VICARIO EPISCOPAL! O sea, un cargo de la máxima confianza del obispo; es decir: que el pájaro era, como mínimo, tan progre como Gaillot. Y ante el conchabeo de intereses e ideologías, el lindo discurso de "los derechos humanos" palidece, como ya nos tienen acostumbrados los progres de aquí, de allí y del mundo entero.
Esperemos que muy pronto este obispo y todos esos militantes generosos den la vida por sus ideas. De la forma más asquerosa posible.
donizela:
Sobre el contenido, y por tanto sobre el fondo de lo que escribe: ¿Usted entiende bien el significado de "respaldar"? Ya le transmito que no. El Vaticano no respalda acciones violentas. En todo caso, al Vaticano se le pueden escapar durante un tiempo los actos de tal o cual Obispo, cura o eclesiástico, pero no respalda la violencia. El Vaticano, de la mano de Juan Pablo II condenó abiertamente la Teología de la liberación, muy querida por la izquierda, porque ésta justificaba la acción armada de grupos guerrilleros en iberoamérica.
Cierto que hay eclesiásticos que van por libre y hacen y deshacen en función de su actitud personal, pero no actúan bajo directrices del Vaticano, en casos como éstos o de pederastía. Del mismo modo que hay profesores que practican la pederastía y no por ello acusamos al cuerpo de docentes, ni menos aun, sobreentendemos que los ministerios de Educación respaldan la pederastía. Todo y que decir, que algunos gobiernos, en el tema de la pederastía están en la frontera de la misma con sus programas educativos.